• Interprété par Solal

    Paroles :

    Ils se prosternent
    Et tu planes sur les sommets
    Mais quand le rideau tombe…

    Leurs cris obscènes
    Résonnent comme tes vanités
    Mais quand le rideau tombe…

    Toutes les gloires sont vaines
    Elles ne mettent personne au monde

    [Refrain]:
    Quand le rideau tombe
    Tu retournes avec tes ombres
    Elles te sont fidèles
    Dieu comme la gloire est mortelle

    Quand le rideau tombe
    Et que les décors s’effondrent
    Tu implores le ciel
    Dieu que la gloire est cruelle

    Tu meurs avec elle

    Ils t’ont damné
    Ils t’ont jeté sur les braises
    Mais quand le bateau sombre…

    Tout s’est envolé
    Quand toutes les clameurs se taisent

    [Refrain] (*2)

     


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  • Interprété par La Troupe

    Paroles :

    Ils nous ont promis
    Des jours sans ennui
    Et des lendemains tranquilles
    Ils nous ont pris
    Pour de sombres imbéciles

    Comme une funambule
    Suspendue dans ma bulle
    Tandis que ma vie défile
    Je somnambule
    En suivant le même fil

    Je suis
    Tout ce que je fuis
    Mes rêves interdits
    Me font mal

    Refrain~
    Debout, les fous
    Le monde sans vous
    Perd la raison
    Suivons, jusqu'au bout
    Les fous qui dérangent
    Sont des Anges

    Je n'étais qu'un songe
    Un demi mensonge
    A la merci de vos fantasmes
    Bim Bam Bim Boum
    Mon coeur est un ectoplasme

    J'ai voué ma vie
    Et mes insomnies
    Par dépit aux requiems
    La désharmonie
    A tué tout ce que j'aime

    Je suis
    Tout ce que je fuis
    Mes rêves interdits
    Me font mal

    Refrain~
    Debout, les fous
    Le monde sans vous
    Perd la raison
    Suivons, jusqu'au bout
    Les fous qui dérangent
    Sont des Anges

    Il a suffit que je défaille
    Pour enfin gagner la bataille
    Le ciel était en moi

    Je suis souverain de mes rêves
    Au milieu des fous qui se lèvent
    Je m'enivre de L'interdit
    Je renie l'assasymphonie

    Debout les fous

    Refrain~
    Debout, les fous
    Le monde sans vous
    Perd la raison
    Suivons, jusqu'au bout
    Les fous qui dérangent
    Sont des Anges

    Oser l'impossible

    Tout le monde y pense

    Tout le monde y croit
    Tout le monde espère

    Nous avons le choix
    D'un monde à refaire

    Mais pourquoi s'en faire
    A six pieds sous terre
    Nous serons debout

    Toutes nos misères
    Sembleront légères
    Sens dessus dessous


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  • Interprété par Mikelangelo Loconte & Florent Mothe

    Paroles :

    On part
    Sans savoir
    Où meurent les souvenirs
    Notre vie défile en l’espace d’un soupir

    Nos pleurs
    Nos peurs
    Ne veulent plus rien dire
    On s’accroche pourtant au fil de nos désirs

    Qu’hier encore
    On ne cessait de maudire

    [Refrain]
    S’il faut mourir
    Autant vivre à en crever
    Tout retenir pour tout immoler

    S’il faut mourir
    Sur nos stèles, je veux graver
    Que nos rires
    Ont berné
    La mort et le temps

    On tient
    On étreint
    La vie comme une maîtresse
    On se fout de tout brûler pour une caresse

    Elle s'offrira
    Elle n'aura pas d’autre choix

    [Refrain]

    On se reverra, On se reverra
    Là où rien n’est plus rien
    On comprendra d’où l’on vient

    [Refrain]

     


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  • Interprété par Florent Mothe

    Paroles :

    Je me croyais l’élu
    En volant mon histoire
    Mais je me suis perdu pour gagner
    A vaincre sans vertu
    On triomphe sans gloire
    L’honneur vaut mieux que le trophée

    [Refrain]:
    C’est ridicule
    Pas de scrupules
    Il faut triompher
    Si on t’adule
    Pas de scrupules
    Laisse-toi porter
    Mais le miroir
    Fuit mon regard
    Pour ne pas voir
    Que je suis victime de ma victoire

    Oui, je m’avoue vaincu
    Par le goût du pouvoir
    Parvenu en haut sans m’élever
    Je suis prince incongru
    D’un talent dérisoire
    Me faire aimer des autres sans aimer

    [Refrain]
    Victime de ma victoire

    Victime de ma victoire
    Ma gloire est dérisoire

    [Refrain]
    Victime de ma victoire

    C’est ridicule
    Pas de scrupules
    Il faut triompher
    Pourquoi triompher?
    Si on t’adule
    Pas de scrupules
    Laisse-toi porter
    Mais mon orgueil
    Porte le deuil
    Pour ne plus voir
    Que je suis victime de ma victoire
    Victime de ma victoire
    J’ai perdu pour l’Histoire


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  • Interprété par Maeva Méline

    Paroles :

    Le sourire qui s'allume
    Le regard qui s'embrume
    Et tu t'en vas danser au ciel

    Tu m'apaises Tu me mens
    Puis tu glisse doucement
    Vers le plus beau des sommeils

    Dors mon ange
    Dans l'éternelle candeur
    Dors mon ange
    Le ciel est ta demeure
    Vole mon ange
    La vie est plus douce ailleurs

    Dors, dors, dors, mon ange dors,
    Les cloches sonnent l'Angélus
    Vole, vole, vole,
    C'est mon enfance qui s'envole
    Ce sont mes rêves que l'on viole

    Je suis un funambule
    Suspendue dans la brume
    Je marche sur le fil de tes pas

    Je titube, je bascule
    Et je plonge dans l'écume
    Des jours qui me parlent de toi.

    Dors mon ange
    Dans l'éternelle candeur
    Dors mon ange
    Le ciel est ta demeure
    Vole mon ange
    Le temps pansera ma douleur.


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  • Interprété par Florent Mothe

    Paroles :

    Cette nuit
    Intenable insomnie
    La folie me guette
    Je suis ce que je fuis

    Je subis
    Cette cacophonie
    Qui me scie la tête
    Assommante harmonie

    Elle me dit
    Tu paieras tes délits
    Quoi qu’il advienne
    On traîne ses chaînes
    Ses peines

    Je voue mes nuits
    A l’assasymphonie
    Aux requiems
    Tuant par dépit
    Ce que je sème
    Je voue mes nuits
    A l’assasymphonie
    Et aux blasphèmes
    J’avoue je maudis
    Tout ceux qui s’aiment

    L’ennemi
    Tapi dans mon esprit
    Fête mes défaites
    Sans répit il me défie

    Je renie
    La fatale hérésie
    Qui ronge mon être
    Je veux renaître
    Renaître

    Je voue mes nuits
    A l’assasymphonie
    Aux requiems
    Tuant par dépit
    Ce que je sème
    Je voue mes nuits
    A l’assasymphonie
    Et aux blasphèmes
    J’avoue je maudis
    Tout ceux qui s’aiment

    Pleurent les violons de ma vie
    La violence de mes envies
    Siphonnée symphonie

    Déconcertant concerto
    Je joue sans toucher le Do
    Mon talent sonne faux

    Je noie mon ennuie
    Dans la mélomanie
    Je tue mes phobies
    Dans la désharmonie


    Je voue mes nuits
    A l’assasymphonie (l’assasymphonie)
    Aux requiems (Aux requiems)
    Tuant par dépit
    Ce que je sème
    Je voue mes nuits
    A l’assasymphonie
    Et aux blasphèmes
    J’avoue je maudis
    Tout ceux qui s’aiment

    Je voue mes nuits
    A l’assasymphonie (l’assasymphonie)
    J’avoue je maudis
    Tout ceux qui s’aiment

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  • Interprété par Claire Pérot

    Paroles :

    J’ai incendié mes romans
    Assassiné mes princes charmants
    J’ai effacé les empreintes et les regrets
    Amers des amours blessés

    Je m’étais fait le serment
    De renoncer aux amants
    Et puis un soir, il m’a touché sans égard
    Son regard m’a brûlé la peau

    [Refrain]:
    Et si je défaille
    Sur ses crocs , je m’empale
    Je n’suis pas de taille
    Je finirai dans les griffes de ce mâle

    Et si défaille
    À coup sûr, j’aurai mal
    Faut que je m’en aille
    Bien avant qu’il me dévore, l’animal
    Au corps et encore
    Que mes ruptures me retiennent
    Que mes blessures s’en souviennent
    Je cours à ma perte, mes démons ne guettent
    Offerte, je me jette à l’eau

    [Refrain]

    Il faut que ça vaille
    La peine sans trop de mal
    Un feu de paille
    Me porterait à coup sûr le coup fatal
    Au corps et encore

    Que mes ruptures me retiennent


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  • Interprété par Claire Pérot & Maeva Méline

    Paroles :

    Tu veut tout son talent
    Les envolées grandioses
    Les grands retournements
    Sous sa baquette de virtuose
    Que le musicien ose

    Je veux le sacrement
    Un air d’opéra rose
    L’amant au firmament
    Et des chœurs qui se superposent
    En apothéose

    Oh, la la, mais quelle outrecuidance

    [Refrain]:
    Adieu
    Les solos sous les draps
    Ha Ha Ha Ha Ha
    À deux
    Nos gammes
    A l’envers à l’endroit
    Mortel
    Le pied bague au doigt
    Ha Ha Ha Ha Ha
    Le ciel
    Bénit tous nos ébats

    Tu veux qu’il improvise
    Des fantaisies rythmées
    Que vos corps s’harmonisent
    Dans des mouvements saccadés
    De flûte enchantée

    Je veux l’accord majeur
    Sa main pour me conduire
    Éprouver son ardeur
    Dans une symphonie de soupirs
    Violons le désir

    Oh, la la, mais quelle concupiscence

    [Refrain]

    Je parle au nom du père
    Ne lâchez pas la main de l’ange
    Qui vaut mieux que cette comédie vulgaire
    Il n’y a point de salut sur terre
    Dans les amours légères

    [Refrain]

    Adieu
    Les solos sous les draps
    Ha Ha Ha Ha Ha
    Le ciel
    Bénit tous nos ébats
    Ha Ha Ha Ha Ha


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  • Interprété par Florent Mothe

    Paroles :

    Mais d’où vient
    L’émotion étrange
    Qui me fascine
    Autant qu’elle me dérange
    Je frissonne poignardé par le beau
    C’est comme
    Dans l’âme le couteau
    La blessure traverse mon cœur
    Et j’ai
    La joie dans la douleur
    Je m’enivre de ce poison
    À en perdre la raison

    [Refrain]:
    C’est le bien qui fait mal
    Quand tu aimes
    Tout à fait normal
    Ta haine
    Prend le plaisir
    C’est si bon de souffrir
    Succombe au charme
    Donne tes larmes

    C’est le bien qui fait mal
    [Qui fait mal]
    Quand tu aimes
    Tout à fait banal
    [Ce bien qui fait mal]
    Ta peine
    Les vrais délices
    Passent par le supplice
    Baisse les armes
    Donne tes larmes

    Je ressens
    De violentes pulsions
    J’ai l’impression
    De glisser vers le fond
    Si j’ignore
    D’où vient ce fléau
    J’adore
    L’avoir dans la peau
    Envoûté par des idées folles
    Soudain
    Mes envies s’envolent
    Le désir devient ma prison
    À en perdre la raison

    [Refrain]

    Je ressens
    De violentes pulsions
    J’ai l’impression
    De glisser vers le fond

    [Refrain]

     


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  • Interprété par Merwan Rim

    Paroles :

    Petit poltron veut devenir grand
    mais il reste assis.
    Petit bouffon insulte le sultan
    mais il est puni.

    La vie est injuste mais ça dépend pour qui
    La vie est injuste surtout pour les petits
    La vie est injuste et c'est pour ça qu'on rit
    chez les grands, les puissants,
    les pourris rient.

    Elle nous mouille les uns les autres
    Comédie tragédie
    Tous les enfants sont les nôtres
    Comédie tragédie
    Peu importe l'écoute, peu importe où l'on joue.
    Comédie tragédie
    Heureux les miséreux, élus au royaume des cieux.

    Assez !


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