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    Il incarne Léopold Mozart, compositeur, violoniste, organiste, théoricien et auteur d'une méthode réputée pour le violon. Il a mené une lutte acharnée pour faire la promotion de son fils aussi prodige que fantasque.

    Pour son personnage, Solal s'est immergé dans les ouvrages consacrés à Mozart. Il en a ainsi retiré que Léopold Mozart était un excellent pédagogue, un enseignant hors pair. Pour mieux encore entrer dans la psychologie du personnage, il s'est tout simplement inspiré de sa propre vie : "Je mets beaucoup de mon propre père dans ce rôle. Et je retrouve en Mikele celui que j'étais quand j'étais jeune... Ce rôle était pour moi. Je ne suis pas venu la fleur au fusil ; je me suis battu et j'ai travaillé dur pour le mériter."


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  • Solal est remarqué par Michel Berger qui lui propose de remplacer au pied levé Renaud Hantson pour le rôle de Ziggy dans Starmania au théâtre Marigny alors qu'il a tout juste 20 ans. Il connait alors un succès fulgurant. Mais quand la réussite vous tombe dessus sans avoir travaillé spécialement pour, la vision de ce métier s'en trouve faussée. "J'ai un peu vendu mon âme au diable, et je n'ai commencé à apprendre que quand je suis redescendu de mon petit nuage."

    Ce sont les années de piano bar qui vont lui façonner la voix et lui apporter l'expérience.

    En 2000, il est choisi par Pierre Cardin parmi huit cents candidats pour incarner Tristan dans Tristan et Yseult, qu'il interprètera cent cinquante fois à l'espace Cardin.

    Depuis lors, il partage ses activités entre l'écriture, la composition et les arrangements de son premier album. Aujourd’hui c’est la nouvelle aventure Mozart, l'opéra rock, produit par Dove Attia, Albert Cohen qui fait appel à lui suite à un casting très prisé.

        


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  • Elle incarne Marie Anna "Nennerl" Mozart, soeur ainée de Wolfgang. Elle était, elle aussi une enfant prodige; excellente joueuse de clavecin et de piano. Mais l'extraordinaire talent de son frère allait éclipser le sien.

    Selon Maeva, la tendresse de la soeur de Mozart, personnage aimant et hyper protecteur, "correspond tout à fait" à sa propre personnalité.


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  • Dès son plus jeune âge, Maeva Méline a été bercée par la musique des Beatles et des plus grandes œuvres classiques. Son entourage découvre très vite son extraordinaire oreille musicale, capable de reproduire des mélodies au piano alors qu'elle n'avait jamais pris un seul cours.

    Ce n'est qu'à l'âge de 16 ans qu'elle prend conscience de sa voix sensible et fragile, qu'elle travaillera seule, n'appréciant guère les cours de musique trop rigoureux pour cette éternelle rêveuse.

    Gardant dans un coin de sa tête le rêve de devenir chanteuse, elle suivra non sans mal le conseil de ses parents et attendra la fin de ses études de droit avant de quitter l'est de la France pour rejoindre Paris.

    1 an plus tard, le producteur Marc Lumbroso remarque la fraicheur et la douceur  folk de la jeune femme et lui permet d'enregistrer ses premiers titres en studio. S'en suivront de nombreux concerts dans des petites salles parisiennes dont elle affectionne la chaleur et le contact tout particulier avec le public.

    Malgré l'enthousiasme et le soutien général, Maeva baisse peu à peu les bras et consciente du contexte musical de plus en plus délicat, elle décide la mort dans l'âme d'arrêter la musique. Jusqu'à la rencontre. Celle qui change votre vie. Un appel, Mathieu Grelier lui propose de passer une audition pour un spectacle musical sans plus de précision. Elle lui répond « pourquoi pas… »

    « La musique ne vous quitte jamais, elle vous rattrape toujours. »


         
     

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    Elle tient le rôle de Constance Weber. Soeur cadette d'Aloysia, elle a épousé Mozart en 1782. Elle avait 20 ans, lui 26. Il lui a composé six enfants en neuf ans !

    Selon Claire, "c'est une femme-enfant, elle est pleine de fraîcheur et elle porte bien son prénom de Constance car elle a toujours su en faire preuve auprès de son mari."


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  • Claire Perot est une jeune artiste qui a pourtant déjà participé à de nombreux projets…

    Mue par la passion et ayant pour maître-mot pluridisciplinarité, elle a appris, à force de travail et au fil du temps, à maîtriser avec brio l’art du chant, de la danse et de la comédie.

    Depuis près de 15 ans, Claire enchaîne les rôles et passe aisément du théâtre (La Religieuse, de Diderot, Création Cie Théatre du Confluent, Avignon Off 1997) au cinéma (Le Doux Amour Des Hommes, Réalisation JP Civeyrac, 2001); et de la télévision (Louis La Brocante, Navarro, Joséphine Ange Gardien, et bientôt récurrente sur France 2 dans la série Action Spéciale Douanes, réalisée par Patrick Jamain) aux comédies musicales.

    Ces dernières tiennent toutefois une place à part dans sa vie d’artiste car c’est avec elles que tout a commencé. En effet à l’âge de 10 ans, Claire fait sa première rencontre artistique en la personne de son professeur de musique au collège (en Seine et Marne), qui lui donne très vite l’amour des comédies musicales ( Big Bazar, Emilie Jolie, 36 Front Populaire..). Elle est remarquée à 15 ans par Roger et Vava Candy qui la mettent en scène dans Le Maître Des Rêves et Des Couleurs, et enregistrent ses premières chansons.

    Tout juste arrivée à Paris, c’est au tour d’Alfredo Arias, en 2002, de lui offrir le rôle magique de Dolly dans Concha Bonita, au Théâtre National de Chaillot, aux cotés d’une de ses idoles, Catherine Ringer (Rita Mitsouko).

    Claire entretient parallèment, son plus grand amour, le rock’n’roll, en se promenant de petits groupes en rencontres plus professionnelles (dernièrement Philippe Uminski, réalisateur de Calogero et Johnny Hallyday).

    C’est donc naturellement « trash » qu’elle décroche en 2006 le rôle de Sally Bowles dans Cabaret, rendu célèbre par Liza Minelli en 1972 dans le film de Bob Fosse. Nommé au Molières en 2007, joué aux Folies Bergère pendant un an et demi, mis en scène par Sam Mendes (American Beauty) et Rob Marshall (Chicago), Cabaret change la vie de Claire en tout point et la conforte dans sa volonté de s’imposer sur scène, sans jamais renier cette passion viscérale qui la possède.

    En s’engageant dans Mozart l’Opéra Rock, Claire retrouve ce mélange des genres qu’elle affectionne, ce travail d’équipe d’artistes généreux et acharnés, et surtout, l’énergie Rock, qu’elle entretient personnellement en rêvant chaque jour de la mettre au profit d’un premier disque.

         

         



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    Il incarne le compositeur de grande renommée, Antonio Salieri. En son temps, il a écrit 40 opéras. Il été maître de musqie de grands compositeurs tels que Beethoven, Schubert et Liszt ; et fut également le contemporain de Mozart ainsi que son rival. Ici, personnage torturé, Salieri éprouve pour Mozart et sa musique une profonde admiration doublée d'une jalousie dévorante.


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  • Florent Mothe commence la musique à l’âge de 7 ans. Il apprend le solfège et maîtrise rapidement plusieurs instruments: la flûte traversière, le piano, la basse et la guitare. Mais le chant a toujours été son instrument de prédilection.

    A l’âge de 15 ans, il fonde son premier groupe, Lost Smile. Baigné dans un univers Rock et inspiré par ses idoles anglo-saxonnes (Radiohead, Pink Floyd et Jeff Buckley), Florent effectue six ans de tournée en France et en Allemagne avec son groupe.

    Entre temps, il est le savant de la comédie musicale « L’Alphoméga » sur album et sur scène, pour une représentation unique devant 1000 spectateurs.

    Il fait danser les clubs parisiens sur la reprise d’Eurythmics « Sweet Dreams », un titre présent sur l’album du restaurant lounge le « Kong », compilé par Béatrice Ardisson.

    Passionné par la scène, Florent effectue plusieurs dates (15 dates, Hard Rock Café) en France avec son nouveau groupe, Ouija, avant de s’exiler en 2007 à Toronto.

    Il commence alors une carrière solo. Florent se produit dans des concerts et dans des clubs prestigieux de Toronto tels que le Mod Club (Amy Winehouse, Muse), Lee’s Palace ou le Jeff Healey’s Roadhouse. Il joue également à plusieurs reprises dans les bars de New-York.

    Le jazz est un nouvel amour et une nouvelle influence. Sarah Vaughan, Billie Holiday, Louis Amstrong et un CD de vocalises tournent en boucle dans sa maison.

    La voix est plus que jamais considérée comme un instrument et la musique comme un art précieux.

    C’est d’ailleurs sa voix et ses compétences artistiques qui ont séduit les producteurs du spectacle événement de la rentrée : Mozart l’Opéra Rock.

         

            

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    Elle incarne la cantatrice à succès Aloysia Weber, muse et premier amour mystérieux de Mozart. Il lui a d'ailleurs composé de nombreux arias. Trois ans après leur rencontre, elle lui brise le coeur et le délaisse cruellement pour épouser Monsieur Lange, un bel acteur et artiste-peintre.

    Melissa joue de sa propre ambiguïté pour incarner son personnage : "Je veux éviter la caricature de la cruelle, j'aimerais toucher par les profondeur de son âme." Elle a même déniché un cd contenant des arias composés par Mozart pour Aloysia, qu'elle écoute souvent pour s'imprégner de leurs sentiments.

     


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  • C’est l’histoire d’une fille… Son nom est Melissa Mars… Mars, comme la planète d’où elle vientpeut-être.

    Elle ouvre les yeux sur le soleil de Marseille et sur sa Maman. Son papa, elle le découvre plus tard, très peu, très mal… Solitaire, ses meilleurs amis sont les fantômes de Fernandel, Bourvil, Edith Piaf… qui hantent les vestiges de l’Alcazar, un vieux music-hall qui donne sous sa fenêtre sur cour. Des amis imaginaires qui l’inspirent : elle veut "faire actrice". Ses jeunes années de danse, musique, théâtre, l’amènent à faire à 13 ans, ses premiers pas sur scène face au public du Chocolat théâtre. Premiers applaudissements. Premières émotions.
    A 15 ans, complexée par sa voix et dans l’espoir d’y remédier, elle pousse ses premières vocalises avec un chanteur marseillais, qui lui dit tout de go, dès sa première leçon : toi, tu seras chanteuse.
    "- Sauf que moi, je veux pas être chanteuse! Je veux être actrice!" répond-elle.

    Alors qu’elle vient d’obtenir son Bac scientifique mention bien à Louis-le-Grand, à Paris, elle lâche la route toute tracée des études de Mathsup, et bifurque vers le chemin plus complexe de  sa passion : de cours de théâtre en castings. Petits rôles. Mais pas encore LE rôle de ses rêves.
    Exploratrice, elle touche à tout, tâte de la guitare, du clavier, l'harmonica, les langues (espagnol, allemand, arabe, japonais…), l’informatique, la réalisation de minifilms, la photo dont elle fera une exposition d’images d’enfants de Chine au profit de la journée mondiale de l’enfance, … le kung fu, l’escrime, rien ne l’effraie, elle s’essaie même au parachutisme… Elle écrit aussi… Elle lit. surtout du théâtre. Elle dévore Anouilh, Sartre, Cocteau, Miller, T. Williams, Mamet... Elle se rêve l’Héroïne des films de Tarantino, Jeunet, Besson, Tim Burton… Le destin frappe à sa porte, c’est avec André Téchiné qu’elle dîne en face à face un soir de novembre 1998. Hélas, ils ne se disent pas grand chose. C’est François Bernheim, un compositeur (P. Kaas, Renaud…) qui arrive sur les coups de minuit et ouvre une voie inattendue :
    "- Vous chantez mademoiselle ?" lui dit-il.
    Ce soir-là, le destin a décidé : Elle voulait faire actrice, elle fera chanteuse.

    Elle tâtonne, explore cette nouvelle voie…jusqu’au déclic : 3 mots qu’elle trimballe depuis sa petite enfance font toc toc toc dans sa tête et sonnent comme le titre d'une chanson: Papa m'aime pas. Tout prend un sens alors : plutôt que d’enfer une maladie, elle en fée une mélodie… ses premiers pas’ dans la chanson et un premier album électro-pop acidulé « Et Alors ! » sorti en 2003.
    Un nouveau personnage pousse dans le paysage musical, entre Alice au pays des Merveilles et Edward aux mains d’argent, Melissa Mars raconte son histoire comme un film qu’elle déroule au fil des chansons...

    Suit en 2005, « La Reine des Abeilles », son deuxième album au ton plus révolté, qu’elle réalise avec le clan à Langolff, le bohême hippie n’ happy, qui l’encourage à composer ses premières mélodies :  « And I hate you », « Be careful Man », « La Reine des Abeilles ».

    En 2006, elle s’impose sur scène avec son monde et ses personnages oniriques dans ses premiers concerts, dont la presse s’est fait l’écho :
    Le Parisien « Chapeau haut de forme et grand manteau noir, elle fait irrésistiblement penser au capitaine Achab de Moby Dick, en fille »,
    Le Monde : « Melissa Mars évoque certains personnages des films de Tim Burton... »

    Pascal Obispo est séduit lui aussi par son univers pop féerique... Rencontre inattendue de deux personnages à l’opposé l’un de l’autre… en  apparence… mais tous deux rêveurs d’un monde meilleur, ils s’embarquent dans un rubixcube et remontent le temps jusqu’en « 1980 »  dans leur duo pop new wave.

    2007… C’est l’histoire d’une fille… « A la Recherche de l’Amour Perdu »son troisième opus clôture la série de 3 albums, une trilogie de contes, la quête initiatique d’une jeune fille en mal d’aimer… une quête dans laquelle elle voyage dans une « Love Machine », dont elle réalise elle-même le clip, et qui va la déposer sur la scène de la Cigale dans un spectacle rock n’ goth, une explosion de sons, de lumières, de tableaux, de costume… Aux manettes d’appareils électroniques elle envoie des sons bizarres et fait tourner les roues d’une sculpture en métal… Serait-ce la roue du destin ?..
     
    Une série de concerts annulée, une trilogie d’albums, le succès n’est toujours qu’un espoir… un espoir peau de chagrin. Ce soir-là, elle avait décidé de fermer le rideau sur cette dernière scène.
    Pourtant… elle ne le sait pas encore, mais 2 personnes qui vont jouer un rôle important 6 mois plus tard, sont là dans la salle… 2 personnes qui vont garder en mémoire ce spectacle et qui, l’été 2008, la rappellent : « On a pensé à toi… »

    …Elle se retrouve, à son grand étonnement, dans un petit théâtre de poche, à passer des auditions. Une première. Une deuxième. Une troisième… pour le rôle d’une cantatrice !!! 
    Alors qu’elle croyait que c’était la fin, alors qu’elle s’apprêtait à partir au loin, un personnage inattendu, tel un magicien, la rattrape et lui ouvre le rideau d’une nouvelle scène pour en faire sa muse et sa diva : Wolfgang Amadeus Mozart.

    En 2009, Melissa Mars sera Aloysia Weber, diva sombre et sexy, premier amour et muse de Mozart dans « Mozart, l’opéra rock ».

    C’est l’histoire d’une fille… à suivre…

         

        

     


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