• Interprété par Florent Mothe

    Paroles :

    Mais d’où vient
    L’émotion étrange
    Qui me fascine
    Autant qu’elle me dérange
    Je frissonne poignardé par le beau
    C’est comme
    Dans l’âme le couteau
    La blessure traverse mon cœur
    Et j’ai
    La joie dans la douleur
    Je m’enivre de ce poison
    À en perdre la raison

    [Refrain]:
    C’est le bien qui fait mal
    Quand tu aimes
    Tout à fait normal
    Ta haine
    Prend le plaisir
    C’est si bon de souffrir
    Succombe au charme
    Donne tes larmes

    C’est le bien qui fait mal
    [Qui fait mal]
    Quand tu aimes
    Tout à fait banal
    [Ce bien qui fait mal]
    Ta peine
    Les vrais délices
    Passent par le supplice
    Baisse les armes
    Donne tes larmes

    Je ressens
    De violentes pulsions
    J’ai l’impression
    De glisser vers le fond
    Si j’ignore
    D’où vient ce fléau
    J’adore
    L’avoir dans la peau
    Envoûté par des idées folles
    Soudain
    Mes envies s’envolent
    Le désir devient ma prison
    À en perdre la raison

    [Refrain]

    Je ressens
    De violentes pulsions
    J’ai l’impression
    De glisser vers le fond

    [Refrain]

     


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  • Interprété par Merwan Rim

    Paroles :

    Petit poltron veut devenir grand
    mais il reste assis.
    Petit bouffon insulte le sultan
    mais il est puni.

    La vie est injuste mais ça dépend pour qui
    La vie est injuste surtout pour les petits
    La vie est injuste et c'est pour ça qu'on rit
    chez les grands, les puissants,
    les pourris rient.

    Elle nous mouille les uns les autres
    Comédie tragédie
    Tous les enfants sont les nôtres
    Comédie tragédie
    Peu importe l'écoute, peu importe où l'on joue.
    Comédie tragédie
    Heureux les miséreux, élus au royaume des cieux.

    Assez !


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  • Interprété par Mikelangelo Loconte

    Paroles :

    N'en déplaise aux courtisans qui baisent
    les pieds des hommes les mieux chaussés.
    Je me ris de leur vie de punaises écrasées.
    Que se taisent les futiles fardaises qui brillent en belle société.
    Je suis fort à mon aise dans les crimes de lèse-majesté.

    Nul n'est ici-bas maître des hommes, prince des lois.

    Place je passe
    Je suis roi de mes rêves, souverain des libertés.
    Osez, rendez grâce
    à ce fou qui se lève
    Place je passe
    Je suis roi de mes rêves, souverain de mes idées
    Osez, rendez grâce
    au vilain épris de nobles pensées

    N'en déplaise aux altesses et ceux qui biaisent la moindre de nos volontés.
    Sur leurs tombes de glaise en guise de chaise, je m'assieds.
    Nul n'est ici bas dieu pour les hommes, digne de foi.

    Place je passe
    Je suis roi de mes rêves, souverain des libertés.
    Osez, rendez grâce
    à ce fou qui se lève
    Place je passe
    Je suis roi de mes rêves, souverain de mes idées
    Osez, rendez grâce
    au vilain épris de nobles pensées

     


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  • Interprété par Mikelangelo Loconte

    Paroles :

    Trop de bruits pour trop de nuits qui pensent
    Quand passe l'absence.
    Dans ce bal, ton silence est un cri qui fait mal.
    Je devines ton visage sur les ombres,
    les souvenirs sombres m'assassinent.

    Je dors sur des roses
    qui signent ma croix.
    La douleur s'impose mais je n'ose pas
    manquer de toi
    dans mes nuits
    dans la pluie
    dans les rires
    dans le pire de ma vie.

    Trop de bruits pour mon esprit qui tangue
    sur mes rêves exempts, drôle de danse.
    La mémoire est un puits de souffrance.
    Au-dessus de ton corps défendu,
    Mon amour pendu se balance.

    Je dors sur des roses
    qui signent ma croix.
    La douleur s'impose mais je n'ose pas
    effleurer les choses écloses sans toi.
    Ô, ma rose, les femmes parlent.
    Je manque de toi
    dans mes nuits
    dans la pluie
    dans les rires
    dans le pire de ma vie.

    Je hais les roses
    autant que mes sanglots.
    La vie s'impose,
    je crois, à nouveau
    à mes rêves défunts.
    je veux sans fin
    oser la fièvre
    du parfum
    des roses.


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  • Interprété par Mikelangelo Loconte

    Paroles :

    Divine
    Candide libertine
    Ce soir je viens
    M’inviter dans ton lit

    Laissons
    Dormir les maris
    Allons nous aimer
    Au nez des braves gens

    J’apprendrai ta langue et ton accent
    Pour te comprendre
    Je serai frivole et décadent
    Pour te surprendre

    [Refrain]:
    Tatoue-moi sur tes seins
    Fais-le du bout de mes lèvres
    Je baiserai tes mains
    Je ferai que ça te plaise (te plaise, du bout de mes lèvres)
    Tatoue-moi sur tes murs
    Un futur à composer
    Je veux graver toutes mes luxures
    Sur tes dorures

    Sortons
    Bras dessus bras dessous
    Et n’ayons crainte
    De leur vile arrogance (mais quelle inconvenance!)

    Allons
    Chez les bourgeois
    Siffler leur vin
    Taquiner leur conscience (tu paieras cette offense!)

    Que m’importent les rires et les regards
    Sur mes travers
    Ils sont ma richesse mon étendard
    Ils sont ma terre

    [Refrain]:
    Tatoue-moi sur tes seins
    Fais-le du bout de mes lèvres (mes lèvres)
    Je baiserai tes mains
    Je ferai que ça te plaise (te plaise, du bout de mes lèvres)
    Tatoue-moi sur tes murs
    Un futur à composer (composer)
    Je veux graver toutes mes luxures
    Sur tes dorures

    Te tatouer sans mesure, sur mesure

    Laisse-toi tomber dans mes bras
    Glisse-moi sous tes draps
    Dérivons jusqu’à l’outrance

    Chantons pour les bienséants
    Les délices de l’indécence

    [Refrain]


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